« Me direz-vous gniocs comme gnioccis non ? C’est italien ça ? Malheureuse ! Je vous parle des gniocs, les fameux gniocs que l’on fait en Savoie dans nos montagnes, les italiens, ils ne savent pas ce que sait que les gniocs de PEISEY ! »
J’ai croisé il y a quelques jours une savoyarde qui m’a brièvement parler de ces fameux gniocs, qui régalent les petits et les grands des montagnes de la vallée de PEISEY NANCROIX ; vous mettez ça puis ça ; vous rajoutez ça mais attention,… pas beaucoup sinon s’est pas bon, vous faîtes cuire et puis voilà !
Cette recette de pâtes, puisqu’il s’agit bien de pâtes, semble toutefois pas très compliquée à réaliser, mais il est vrai qu’avec les explications qu’elle a bien voulu me donner, pas claires du tout pour que je rate la recette je pense, ces gniocs restent un mystère !
Je vais malgré tout essayer de relever le défi, et vous confie la recette mot à mot que j’ai retenue :
Pour 6 personnes :
Mettre dans un saladier :
¼ litre de lait tiède avec une pincée de sel
Trois œufs entiers
Farine, c’est là que cela se corse, se Savoie pourrait-on dire, jusqu’à obtenir une pâte à consistance suffisamment épaisse pour pouvoir la travailler avec ses doigts – un bon peu
Avec la pâte, faire ensuite des rouleaux pas épais, genre boudins, d’environ 30 cm de long, puis les couper dimension d’un ongle, pas plus, après c’est trop gros.
Une fois vos gniocs prêts, les faire cuire un ¼ d’heure dans de l’eau bouillante ; une fois égouttés, les mettre dans un plat allant au four.
Vous rajoutez du beurre et puis bien du beaufort bien sûr, sinon on ne les appellerait pas les gniocs de PEISEY, et on passe au four pour faire gratiner.
Voilà c’est simple – je vais donc voir si les savoyards sont aussi forts que les italiens pour les gnioccis, non pardon les gniocs.
Article envoyé par Catherine Dalmasso rédactrice du blog emploi de CV Malin.
Je ne connaissais pas les gniocs, merci pour la découverte.